posté le 28-09-2012 à 12:28:38
Me revoilà après beaucoup de temps absente je vous dit un grand bonjour
 
	
	 
 
posté le 25-07-2010 à 14:39:43
C'est de la barbarie horrible!!!!!!!!!Qui peux faire ça à un chat???
	    
    
		
					
				
			 
		
					
								PLICHANCOURT
 (Marne).Un chat coupé en deux. Un autre avec la patte sectionnée. C'est
 l'état dans lequel Audric Beaudet, habitant d'un hameau près de 
Plichancourt, a retrouvé ses deux chats.
«
 QUI est le barbare qui a bien pu faire ça ? » C'est la question que se 
posent Audric Beaudet et son épouse, habitants du hameau d'Adecourt, sur
 la commune de Plichancourt. C'est la deuxième fois en un mois qu'ils 
retrouvent un de leurs chats dans un sale état. « Il y a un mois, sur un
 chemin à une centaine de mètres de chez moi, je n'ai retrouvé que le 
train arrière de Xena. Je l'ai reconnue à la couleur du poil. J'étais 
horrifié », raconte Audric Beaudet. « Cela faisait un mois qu'elle avait
 disparu. Mes chats ont l'habitude de faire leur vie pendant la journée,
 mais ils reviennent à la maison tous les soirs. Là, je commençais 
vraiment à m'inquiéter, on inspectait régulièrement les alentours de la 
maison pour essayer de la retrouver. » Et c'est malheureusement morte, 
et dans un bien mauvais état, que le couple a retrouvé Xena. Et à peine 
remis de leur peine, voilà que Frimousse, la petite de Xena, âgée de 11 
mois, disparaît à son tour. C'était il y a une quinzaine de jours. Un 
nouveau tracas pour le couple plichancurtien.
Un lambeau de peau
Mercredi,
 alors qu'il quitte son domicile, Audric Beaudet entend un miaulement de
 douleur dans un coin de sa propriété. C'est Frimousse. Elle est toute 
mouillée et sa patte avant gauche est coupée juste au-dessus de 
l'articulation. La partie inférieure n'est maintenue que par un lambeau 
de peau. Le jeune homme conduit dans la foulée son animal chez le 
vétérinaire à Vitry-le-François. Ce dernier a été contraint de l'amputer
 au niveau de l'épaule. À l'heure ou nous écrivions ces lignes, l'animal
 était toujours en observation, à cause d'une température corporelle 
anormalement basse. Il devrait rejoindre son foyer aujourd'hui, samedi.
«
 On l'a retrouvée à temps, sinon il aurait sûrement fallu la piquer », 
souffle Audric Beaudet, partagé entre le soulagement et la colère. « 
Elle survivra, elle est jeune ; mais évidemment, elle boitera toute sa 
vie. » Les frais médicaux du félin devraient dépasser les 300 euros. « 
Je suis encore sous le choc, admet son maître. Mon épouse a préféré ne 
pas venir la voir sous perfusion, chez le vétérinaire. Ça fait mal au 
cœur de la voir dans cet état ». Audric Beaudet envisage de se rendre à 
la gendarmerie de Vitry. Il n'a pas eu vent d'autres actes de barbaries 
perpétrés sur les chats dans son voisinage. « C'est peut-être un gros 
piège, muni de dents, qui lui a infligé ces blessures. Mais de tels 
objets n'ont rien à faire près de chez moi. En tout cas, il faut que ça 
cesse ! »
			
			 
 
 
	
	 
 
posté le 22-07-2010 à 08:35:26
Merci beaucoup à mon ami Roger pour ce superbe KDO
 
	
	 
 
posté le 19-07-2010 à 00:37:23
KDO pour mes amis(e) servez-vous!!!!
 
	
	 
 
posté le 19-07-2010 à 00:21:50
Encore et encore de la maltraitance et pas assez puni comme d'habitude lisez et constater!!!!
Parce ce que son 
chien avait volé une assiette de pâtes, ce Chaunois lui a assené 
plusieurs coups de couteau avant de l'égorger.
Du sang, partout. Dans
 le couloir, sur le mur du salon, dans la cuisine, dans la salle de 
bain. Le chien s'est traîné dans quasiment toutes les pièces de cet 
appartement de Chauny, à l'agonie. Mardi, son maître se prépare des 
pâtes. Il tourne le dos quelques minutes : suffisant pour que Mia, un 
croisé labrador-malinois de 3 ans, engloutisse le contenu de l'assiette.
Laurent
 ne tarde pas à réagir. Il se saisit d'un couteau de cuisine et 
poignarde l'animal à cinq reprises. « Quand je suis rentrée du travail 
et que j'ai vu tout le sang dans l'entrée, j'ai d'abord cru qu'il 
s'était blessé mais quand je lui ai demandé ce qui s'était passé, il m'a
 froidement répondu qu'il avait tué ma chienne », racontait sa compagne,
 hier après-midi, à la barre du tribunal correctionnel de Laon.
Elle 
se précipite dans la cuisine et trouve sa chienne, encore vivante. « 
J'ai essayé de faire des points de compression sur ses plaies avec des 
serviettes mouillées et puis j'ai paniqué. Les gémissements de Mia 
étaient tellement insupportables... Je me suis dit qu'il n'y avait plus 
rien à faire et j'ai demandé à Laurent d'abréger ses souffrances. Il lui
 a donné d'autres coups de couteau avant de l'égorger ».
Quand il met
 la chienne dans un grand sac plastique, elle est encore vivante. Il ira
 l'abandonner dans un sous-bois, pas très loin de leur résidence.
« 
Je lui en voulais »
Jugé en comparution immédiate, Laurent ne 
s'explique pas vraiment ce passage à l'acte. Il se contente de répéter 
aux juges que depuis « l'accident », il n'est plus le même. Le 2 juin 
dernier, alors qu'il promène Mia, elle tire un peu trop fort sur sa 
laisse et le fait tomber. « J'ai eu un hématome crânien et j'ai été 
opéré. Je suis tombé dans le coma. Depuis, je fais des crises 
d'épilepsie. J'en voulais beaucoup à la chienne, j'avais peur qu'il 
m'arrive encore quelque chose alors je ne m'en occupais plus ».
Sadisme
 et barbarie
Le Chaunois de 37 ans évoque aussi son problème avec 
l'alcool qui, conjugué à la prise de médicaments, n'arrange rien. Au 
moment des faits, il avait ingurgité une bonne partie de ses 4 litres de
 bière quotidiens.
Me Duflot, avocat de la compagne de Laurent, 
s'interroge. « S'il est capable de faire ça à un animal, il est 
peut-être capable d'en faire autant sur sa concubine... ». Le procureur 
Olivier Hussenet ne se pose même pas la question. « Le simple fait 
d'avoir fait subir ces sévices à un chien mérite une sanction. La façon 
dont cet homme s'est comporté dénote sadisme et barbarie ». Pour la 
défense, Me Laval convient que « cela ne se fait pas » mais rappelle que
 son client n'a jamais été violent auparavant, que ce soit avec des 
hommes ou des animaux.
Laurent a été condamné à six mois de prison 
dont cinq mois avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans : un 
mois de prison ferme qu'il purge depuis hier puisqu'un mandat de dépôt a
 été décerné.
Par ailleurs, il devra verser 500 euros à son ancienne 
compagne - qui a quitté le domicile depuis les faits - et se soigner 
pour ses problèmes d'alcool. Enfin, il a l'interdiction définitive de 
détenir un animal de compagnie.
 
	
	 
 
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